• Jak And Daxter

    [Test #03] Jak And Daxter (PS2)

    Après le rachat de Crash Bandicoot par Traveller's tale, Naughty Dog a du trouver un autre univers à développer, toujours dans le thème des plateformes, Jak And Daxter est différent de Crash Bandicoot de par son univers et son gameplay.

    Date de sortie France: 14 décembre 2001

    Type: Plates-formes

     

    Naughty dog n'étant plus en charge de Crash Bandicoot, le développeur a du créer un nouveau personnage, c'est donc en 2001 que l'on découvre le nouveau jeu de plates-formes qui deviendra culte par la suite: Jak And Daxter. Cette série connaîtra un succès fou au point que des suites et des jeux dérivés ont étés crées, Jak and Daxter possède la gamme platinum. 

     

    Jak est donc le grand personnage blond aux oreilles pointues et daxter est le petit animal orange qui l'accompagne (Une Beloutre, animal inventé pour ce jeu et ressemblant à une mangouste). 

     

    Quelle est l'histoire de ce jeu? Jak et Daxter se sont aventurés sur l'île de la Brume. Cependant, Daxter, acolyte de Jak, tombe dans une cuve d'Eco noire , substance très maléfique. Il se transforme en animal, Jak devra donc trouver un moyen de redonner forme humaine à Daxter. Pour cela, un vieux sage nommé Samos lui conseille d'aller voir Gol, un autre sage qui étudie l'Eco noire depuis fort longtemps. Ce qu'ils ignorent c'est que Gol est devenu complètement fou à force de manipuler de l'Eco noire et qu'il représente une grande menace pour le monde entier. La quête des héros se transformera donc en une mission de sauvetage de l'humanité.

     

    Le scénario de Jak and Daxter peut sembler classique mais ce qui interpelle d'abord le joueur est l'ambiance générale qui se dégage du jeu. 

    L'univers du jeu est beau. On se croirait être à l'intérieur d'un dessin animé. Les couleurs varient. Les paysages sont magnifiques quelque soit le moment de la journée.  Se promener dans l'univers de ce jeu est un véritable plaisir.

    On a toujours quelque chose à faire dans le jeu, à chaque zone se trouve une liste de défis à effectuer afin de gagner des objets.  Tels que des "piles d'énergie" afin de pouvoir réparer un véhicule qui pourra vous faire traverser un ravin en feu au début du jeu pour accéder à une nouvelle zone. Des téléporteurs pourront vous faire revenir en arrière et essayer de récolter les piles d'énergies ou les orbes precursors manquantes. On n'a quasiment pas de chargement dans le jeu et on peut accéder à toutes les zones sans attendre. Les dialogues sont souvent drôles et sympathiques et les animations sont belles. On a un univers de différentes zones qui ne sont pas coupées, mais se suivent toutes. 

    Durant le jeu, on ne pourra contrôler que Jak, celui-ci n'aura pas de nouveaux pouvoirs mais grâce aux différentes Eco, il pourra augmenter ses capacités, par exemple: L'Eco Bleue sert à avancer plus vite, l'Eco jaune sert à tirer des boules de feu, l'Eco rouge lui donnera plus de force... Quand on perd une vie, il n'y a pas de chargement mais on a le droit à un commentaire souvent humoristique de Daxter

    La jouabilité est parfaite et la caméra aussi. La bande-son est réussie et le doublage des voix des personnages est cohérent. 

     

    Jak and Daxter: The precursor legacy est un jeu à tester, c'est  l'un des meilleurs jeux de plates-formes qui ne vieillit pas.

     

    Quelques captures d'écran commentées:

    [Test #03] Jak And Daxter (PS2)Le contraste des lumières est respecté que ce soit le jour ou la nuit,  ce qui offre une immersion totale dans l'univers de ce jeu.

     

     

     

     

    [Test #03] Jak And Daxter (PS2)On retrouve des parties plates-formes très réussies. On y retrouve les éléments de base des jeux de plates-formes (sol qui se casse, tonneaux, perches...).

     

     

     

     

    [Test #03] Jak And Daxter (PS2)A chaque pile d'énergie récoltée on aura le droit à une danse de la victoire. Il faudra toutes les piles d'énergie afin de pouvoir voir la vraie fin du jeu.

     

     

     

     

    [Test #03] Jak And Daxter (PS2)Les graphismes et les niveaux sont éblouïssants dans le sens où ils sont très beaux. On y remarque beaucoup de détails dans les décors.

     

     

     

     

     

    Les cinq points à critiquer dans un jeu vidéo:


    Graphismes: Comme à son habitude, Naughty Dog a su nous démontrer qu'il est capable d'insérer de très beaux graphismes dans ses jeux vidéos. On y remarque beaucoup de détails. Cependant, des bugs et des erreurs sont plutôt fréquents: 18/20

    Jouabilité: Les contrôles de ce jeux sont très bien répartis, chaque bouton sert à faire une action. Le personnage exécute les actions immédiatement. 17/20

    Durée de vie: Le jeu est très court, il peut se finir en moins d'une semaine. Cependant la quête pour avoir toutes les piles d'énergie pour voir la vraie fin nous fait passer plus de temps sur ce jeu. 14/20

    Bande son: La bande-son est magnifique, on remarque que Naughty Dog a mis sa "patte" concernant ce point-là (comme tous les points d'ailleurs). Les musiques correspondent aux zones. 17/20

    Scénario: Le scénario peut sembler basique mais au fur et à mesure, on découvre que le scénario de ce jeu a été élaboré de A à Z. 17/20


    Note finale: 16,6


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  • Medievil

    [Test #06] Medievil (PlayStation

    Aujourd'hui, nouvelle critique. Je vais m'attaquer à un jeu culte de la PS1. Si je vous dit un antihéros squelette avec un seul oeil capable de lancer son bras droit le tout dans un univers à la fois effrayant et drôle. Certains d'entre vous me répondront sans doute Medievil. Et son Sir Daniel Fortesque. C'est à son tour d'être noté.

    Date de sortie France: Octobre 1998

    Type: Action/ Aventure

     

    En 1998, SONY innove en nous proposant un antihéros se promenant dans un univers sombre peuplé de zombies, de squelettes, de fantômes...Pourquoi je dis antihéros? Vous le saurez en comprenant l'histoire.

     

    Quelle est l'histoire de ce jeu: D'après la légende de Gallowmere. Sir Daniel Fortesque aurait terassé les forces d'un sorcier nommé Zarok lors de son premier assaut. Cependant, ceci est faux : Daniel Fortesque était le premier mort durant cette bataille car il a recu une flèche dans l'oeil (c'est d'ailleurs pour ça qu'il n'en a pas). 100 ans plus tard, Sir Daniel Fortesque (votre personnage) qui repose dans sa crypte, revisualise les images du passé et revient à la vie avec comme mission: vaincre Zarok pour ramener la paix. La légende de Gallowmere est  connue de tous et ils y croient beaucoup, les ennemis vont essayer d'éliminer Daniel Fortesque. Vous allez donc devoir traverser les niveaux en éliminant les ennemis afin d'affronter Zarok.

     

     

    Les décors sont bien réalisés. On a une impression de réalisme parce que les reliefs sont respectés. Les déplacements du héros sont originaux voir même drôles. Les graphismes sont colorés et les animations sympathiques. On a aussi des musiques angoissantes, on arrive pas à savoir si ce jeu est effrayant ou s'il est drôle.

     

    Certains combat contre les ennemis sont assez difficiles. Ce jeu possède également des énigmes. Par exemple pour ouvrir une porte, il faudra soit ramasser une rune, soit taper à un endroit précis, ou bien revenir plus tard dans le jeu... 

     

    Il faudra traverser 30 niveaux dans un univers sombre. On progresse petit à petit même si certains niveaux sont compliqués et où il faudra batailler pour les réussir. Medievil est un mélange d'humour et de sérieux. Ce jeu est sorti en octobre, le mois d'Halloween.

     

    Medievil est un jeu de PlayStation culte, à essayer.

     

    Quelques captures d'écran commentées:


    [Test #06] Medievil (PlayStation)Voici votre personnage, Sir Daniel Fortesque après avoir retrouvé la vie.

     

     

     

     

    [Test #06] Medievil (PlayStation)Les animations sont très réussies et belles.

     

     

     

     

     

     

    [Test #06] Medievil (PlayStation)Il faudra affronter divers ennemis tel que des zombies, des squelettes ou des fantômes.

     

     

     

     

     

     

    [Test #06] Medievil (PlayStation)Ces choses vertes à cornes que l'on peut voir sur la photo sont des goules, quand tu leur parles, elles sont utiles et souvent se moquent de Sir Daniel Fortesque car ces goules connaissent la vérité et savent donc que Daniel est le premier mort durant la première attaque de Zarok.

     

     

     

    Les 5 points à critiquer dans un jeu vidéo:


    Graphismes: Les graphismes sont beaux et détaillés, les animations sont belles et le relief est présent. L'atmosphère à la fois drôle et inquiétante est réussie. 18/20

    Jouabilité: Daniel Fortesque exécute les actions qu'on lui demande de faire, elles sont très variées avec une grande quantité d'armes. Cependant, on tombe souvent dans des vides et on se fait souvent toucher par les ennemis. 14/20

    Durée de vie: Medievil est un jeu assez long, il faudra passer 30 niveaux que ce soit dans un univers pleins de zombies, ou sur un bateau de fantômes. Il faudra refaire certains niveaux pour accèder à une nouvelle zone. 15/20

    Bande son: La musique est inscrite dans l'univers du jeu. On est vite mis dans l'ambiance, les bruitages aussi le sont aussi, les zombies et autres monstres poussent des cris réussis. 18/20

    Scénario: Le scénario est original pour son époque: Un personnage victime d'une légende est donc décrit comme un grand héros alors qu'en fait, c'est le premier à être mort. On a un antihéros assez drôle par moment. On découvrira le scénario au cours du jeu. 16/20


    Note finale: 16,8


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  • Rocket Knight Adventures

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)

    Certains gamers qui possédaient la Sega se souviendront peut-être de ce personnage. On est dans l'époque où pleins d'entreprises se cherchaient une mascotte ayant fait un jeu vidéo tel que Mr Nutz, ou bien Cool Spot chez une marque de boisson gazeuse, ou bien Global Gladiator chez un célèbre Fast Food. Je vais m'attaquer à une "mascotte" qui a fait deux jeux: Rocket Knight Adventure et Sparkster (le nom du personnage étant Sparkster). Je vais m'attaquer à Rocket Knight.

    Date de Sortie: 1993

    Type: Action/ Plates-formes

     

    Dans les années 90, des entreprises essayèrent de lancer leur mascotte, certaines sont cultes telles que Sonic chez Sega, où Crash Bandicoot chez Sony Computer Entertainment. Et d'autres passèrent presque inaperçues telles que Cool Spot où le jeu dont je vais vous parler: Rocket Knight.

    Rocket Knight est malgré tout un des titres de référence de la Megadrive et possède des gameplay originaux. Ainsi, ce jeu connu un succès grâce à son mélange des genres.

    Quelle est l'histoire de ce jeu? L'histoire de ce jeu se déroule au royaume de Zébulos, à mi-chemin entre contrée médiévale et univers Steampunk : les vaisseaux à vapeurs y côtoient les rois, les princesses et les ordres de chevaliers. Le héros: Sparkster, est le chef d'un de ces ordres, les Rocket Knights renommés pour leur utilisation de l'épée et l'utilisation d'un Jetpack au dos de leurs armures. Mais un jour, le royaume voisin de Devotindos envahit ses terres et fait enlever la princesse de Zébulos. Sparkster prend les armes pour la délivrer et se venger d'Axel Gear, un Rocket Knight déchu pour avoir assassiné son ancien maître avant de s'allier  à l'ennemi.

     

    Les mascottes de jeux vidéos étaient souvent des animaux et Sparkster n'échappe pas à la règle puisque c'est un Opossum. Il devra se battre contre une armée de cochons contrôlant plein de robots plus variés les uns que les autres. Certes le jeu peut sembler du déjà vu, mais Rocket Knight possède un gameplay original et des graphismes différents et soignés, chaque personnage possède sa propre couleur. Les actions peuvent ne pas être fluides mais correspondent à l'esprit du jeu. Les décors sont variés, on a donc des niveaux aquatiques, une campagne en flammes, un avion, une ville, un niveau dans la mine...

    La variété est surtout apportée dans les niveaux et les graphismes. Les niveaux sont courts et ont chacun leur types de gameplay. Allant du niveau normal au scrolling automatique (les niveaux avancent seuls et tu dois te dépêcher afin de ne pas perdre une vie). On a plus de niveau de plates-formes étant donné que c'est le type du jeu. Mais par exemple, dans le Level 2, on peut faire le niveau sur deux plans. Le Jetpack est nécéssaire car pour atteindre certains éléments en hauteur par exemple, on doît l'utiliser, on peut aussi accéder à des zones cachées (Bonus) avec celui-ci. Cet outil peut être aussi utilisé comme arme contre certains ennemis. Attention quand même à ne pas rebondir contre un mur et tomber sur un gouffre ou sur un ennemis. Car il  faut calculer un point précis pour réussir ce que l'on comptait faire.

     

    La maniabilité est bien répartie car chaque joueur peut s'en sortir avec un minimum de rigourosité.  Malgré ça, on meurt souvent dans ce jeu. Il faudra donc mémoriser la structure des niveaux afin de mieux s'en sortir. Surtout lors des boss qui sont parfois très difficiles et surtout, les boss sont assez grands. Il faudra donc connaître leur timing et leurs points faibles afin de les vaincre. On pourra également assister à un combat de robots géants que l'on pourra piloter après une course poursuite avec celui d'Axel Gear (d'ailleurs, je ne me souvenais plus trop de ce niveau).

     

    Concernant la musique, chaque personne qui a souvent joué à Rocket Knight s'en souvient. Au début on a des thèmes médiévaux, et à la fin, des thèmes plus sombres. J'ai cru reconnaître une chanson que je chantais en maternelle lors du niveau sur le rail, après les mines. Les bruitages peuvent parfois être mauvais mais créent un univers original au jeu. On ne s'en lasse pas, il faudra compter plusieurs heures pour le finir car il n'y a pas de sauvegardes ou de codes. Il y a aussi un mode appelé Crazy Hard où l'on a qu'une seule vie, aucun continu et où si l'on touche une seule fois l'ennemi, on fait un game over et on doit tout recommencer.

    Comme dit précédemment, Rocket Knight Adventure possède une suite s'appelant Sparkster . Seules différences: dans cette suite, le Jetpack est chargé automatiquement, ce qui fait qu'il y a moins de stratégie avec la charge qu'il fallait maîtriser dans le premier opus. Un jeu Sparkster est également sorti sur NES mais il est complètement différent de la version Megadrive.

     

    Rocket Knight Adventure est un jeu sympathique, à essayer.

     

    Quelques captures d'écran commentées:

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)

    Chaque gamer ayant joué à Rocket Knight Adventure se souvient de la musique de ce jeu, en particulier de celle du premier niveau.

     

     

     

     

     

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)Les boss sont assez grands. Il faudra observer leurs mouvements afin de perdre un minimum de vie.

     

     

     

     

     

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)Sincèrement, je ne me souvenais plus trop de ce combat, je ne sais même plus quelles sont les attaques des ennemis, j'ai réussi à finir ce jeu qu'une seule fois, voir deux.

     

     

     

     

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)Encore un jeu où le héros doit sauver sa belle. Mais cependant, Rocket Knight a une originalité dans son gameplay et ses graphismes.

     

     

     

     

     

    Les 5 points à critiquer dans un jeu vidéo:


    Graphismes: Les graphismes sont beaux pour l'époque mais se remarquent surtout dans les niveaux plus variés les uns que les autres. 16/20

    Jouabilité: Il faudra beaucoup de précision pour réussir ce jeu et beaucoup de temps pour maîtriser le Jetpack. La jouabilité est variée avec des contrôles qui changent en fonction des niveaux. 18/20

    Durée de vie: Le mode easy peut être fini en un après midi, cependant, pour voir la vraie fin du jeu, il faudra se tourner vers la mode hard. Pour le mode Crazy Hard (qu'il faudra débloquer), il faut connaître le jeu par coeur. 15/20

    Bande son: Comme je l'ai dit précédemment, chaque personne ayant joué à Rocket Knight Adventure se souvient de sa musique. Les bruitages utilisés font très cartoon. Pour du 16 bits, les musiques sont assez biens, au final, celles-ci trottent bien dans la tête. 17/20

    Scénario: Le scénario est classique: Un héros qui doit sauver sa princesse en combattant les forces ennemies. Cependant on adhère facilement à l'aventure menée par le héros. 12/20


    Note finale: 15,6


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