• Rocket Knight Adventures

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)

    Certains gamers qui possédaient la Sega se souviendront peut-être de ce personnage. On est dans l'époque où pleins d'entreprises se cherchaient une mascotte ayant fait un jeu vidéo tel que Mr Nutz, ou bien Cool Spot chez une marque de boisson gazeuse, ou bien Global Gladiator chez un célèbre Fast Food. Je vais m'attaquer à une "mascotte" qui a fait deux jeux: Rocket Knight Adventure et Sparkster (le nom du personnage étant Sparkster). Je vais m'attaquer à Rocket Knight.

    Date de Sortie: 1993

    Type: Action/ Plates-formes

     

    Dans les années 90, des entreprises essayèrent de lancer leur mascotte, certaines sont cultes telles que Sonic chez Sega, où Crash Bandicoot chez Sony Computer Entertainment. Et d'autres passèrent presque inaperçues telles que Cool Spot où le jeu dont je vais vous parler: Rocket Knight.

    Rocket Knight est malgré tout un des titres de référence de la Megadrive et possède des gameplay originaux. Ainsi, ce jeu connu un succès grâce à son mélange des genres.

    Quelle est l'histoire de ce jeu? L'histoire de ce jeu se déroule au royaume de Zébulos, à mi-chemin entre contrée médiévale et univers Steampunk : les vaisseaux à vapeurs y côtoient les rois, les princesses et les ordres de chevaliers. Le héros: Sparkster, est le chef d'un de ces ordres, les Rocket Knights renommés pour leur utilisation de l'épée et l'utilisation d'un Jetpack au dos de leurs armures. Mais un jour, le royaume voisin de Devotindos envahit ses terres et fait enlever la princesse de Zébulos. Sparkster prend les armes pour la délivrer et se venger d'Axel Gear, un Rocket Knight déchu pour avoir assassiné son ancien maître avant de s'allier  à l'ennemi.

     

    Les mascottes de jeux vidéos étaient souvent des animaux et Sparkster n'échappe pas à la règle puisque c'est un Opossum. Il devra se battre contre une armée de cochons contrôlant plein de robots plus variés les uns que les autres. Certes le jeu peut sembler du déjà vu, mais Rocket Knight possède un gameplay original et des graphismes différents et soignés, chaque personnage possède sa propre couleur. Les actions peuvent ne pas être fluides mais correspondent à l'esprit du jeu. Les décors sont variés, on a donc des niveaux aquatiques, une campagne en flammes, un avion, une ville, un niveau dans la mine...

    La variété est surtout apportée dans les niveaux et les graphismes. Les niveaux sont courts et ont chacun leur types de gameplay. Allant du niveau normal au scrolling automatique (les niveaux avancent seuls et tu dois te dépêcher afin de ne pas perdre une vie). On a plus de niveau de plates-formes étant donné que c'est le type du jeu. Mais par exemple, dans le Level 2, on peut faire le niveau sur deux plans. Le Jetpack est nécéssaire car pour atteindre certains éléments en hauteur par exemple, on doît l'utiliser, on peut aussi accéder à des zones cachées (Bonus) avec celui-ci. Cet outil peut être aussi utilisé comme arme contre certains ennemis. Attention quand même à ne pas rebondir contre un mur et tomber sur un gouffre ou sur un ennemis. Car il  faut calculer un point précis pour réussir ce que l'on comptait faire.

     

    La maniabilité est bien répartie car chaque joueur peut s'en sortir avec un minimum de rigourosité.  Malgré ça, on meurt souvent dans ce jeu. Il faudra donc mémoriser la structure des niveaux afin de mieux s'en sortir. Surtout lors des boss qui sont parfois très difficiles et surtout, les boss sont assez grands. Il faudra donc connaître leur timing et leurs points faibles afin de les vaincre. On pourra également assister à un combat de robots géants que l'on pourra piloter après une course poursuite avec celui d'Axel Gear (d'ailleurs, je ne me souvenais plus trop de ce niveau).

     

    Concernant la musique, chaque personne qui a souvent joué à Rocket Knight s'en souvient. Au début on a des thèmes médiévaux, et à la fin, des thèmes plus sombres. J'ai cru reconnaître une chanson que je chantais en maternelle lors du niveau sur le rail, après les mines. Les bruitages peuvent parfois être mauvais mais créent un univers original au jeu. On ne s'en lasse pas, il faudra compter plusieurs heures pour le finir car il n'y a pas de sauvegardes ou de codes. Il y a aussi un mode appelé Crazy Hard où l'on a qu'une seule vie, aucun continu et où si l'on touche une seule fois l'ennemi, on fait un game over et on doit tout recommencer.

    Comme dit précédemment, Rocket Knight Adventure possède une suite s'appelant Sparkster . Seules différences: dans cette suite, le Jetpack est chargé automatiquement, ce qui fait qu'il y a moins de stratégie avec la charge qu'il fallait maîtriser dans le premier opus. Un jeu Sparkster est également sorti sur NES mais il est complètement différent de la version Megadrive.

     

    Rocket Knight Adventure est un jeu sympathique, à essayer.

     

    Quelques captures d'écran commentées:

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)

    Chaque gamer ayant joué à Rocket Knight Adventure se souvient de la musique de ce jeu, en particulier de celle du premier niveau.

     

     

     

     

     

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)Les boss sont assez grands. Il faudra observer leurs mouvements afin de perdre un minimum de vie.

     

     

     

     

     

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)Sincèrement, je ne me souvenais plus trop de ce combat, je ne sais même plus quelles sont les attaques des ennemis, j'ai réussi à finir ce jeu qu'une seule fois, voir deux.

     

     

     

     

    [Test #02] Rocket Knight Adventure (Megadrive)Encore un jeu où le héros doit sauver sa belle. Mais cependant, Rocket Knight a une originalité dans son gameplay et ses graphismes.

     

     

     

     

     

    Les 5 points à critiquer dans un jeu vidéo:


    Graphismes: Les graphismes sont beaux pour l'époque mais se remarquent surtout dans les niveaux plus variés les uns que les autres. 16/20

    Jouabilité: Il faudra beaucoup de précision pour réussir ce jeu et beaucoup de temps pour maîtriser le Jetpack. La jouabilité est variée avec des contrôles qui changent en fonction des niveaux. 18/20

    Durée de vie: Le mode easy peut être fini en un après midi, cependant, pour voir la vraie fin du jeu, il faudra se tourner vers la mode hard. Pour le mode Crazy Hard (qu'il faudra débloquer), il faut connaître le jeu par coeur. 15/20

    Bande son: Comme je l'ai dit précédemment, chaque personne ayant joué à Rocket Knight Adventure se souvient de sa musique. Les bruitages utilisés font très cartoon. Pour du 16 bits, les musiques sont assez biens, au final, celles-ci trottent bien dans la tête. 17/20

    Scénario: Le scénario est classique: Un héros qui doit sauver sa princesse en combattant les forces ennemies. Cependant on adhère facilement à l'aventure menée par le héros. 12/20


    Note finale: 15,6


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  • Sheep

    [Test #08] Sheep (PlayStation)

    Bonjour, cette nouvelle critique parlera d'un jeu assez original, en effet, comme pour Lemmings, Sheep est un jeu de casse-tête assez compliqué.  On y contrôle un Berger qui doit ramener des moutons dans leur enclos. Cependant, on aura affaire a de multiples obstacles. C'est parti pour un jeu original, que je n'ai pas beaucoup apprécié. C'est on aime ou on aime pas.

    Date de sortie (France): Décembre 2000

    Type: Réflexion

     

    Sheep est un jeu original, ce jeu n'est pas a la portée de tous a cause de sa difficultée.

     

    Quelle est l'histoire de ce jeu? Une légende dis que plusieurs siècles avant notre ère, des extraterrestres furent envoyés sur la planète Terre dans le but d'étudier le mode de vie de ses habitants. Afin de mieux comprendre les humains, les extraterrestres décidèrent d'en laisser certains d'entre eux sur notre planète. C'est ainsi que leur descendants qui prirent l'apparence de moutons, gardèrent leur terrible secret et coulèrent des jours paisibles loin de leur planète d'origine, en oubliant peu a peu leur mission.

     

    Déjà, rien que l'histoire est déjantée. Dans ce jeu, on y contrôle un des quatre bergers choisis par le peuple des moutons pour les guider vers leur but: Une île du nom de Blue Hawaï. Pour cela, il faudra compter sur l'observation et la logique, des pièges seront difficiles a éviter et vous devrez amener a la fin du niveau le maximum de moutons.

     

    Le jeu se déroule en vue du dessus, les graphismes sont pauvres, je les ai trouvé mauvais. Vous vous retrouvez a la tête d'ovnis (sous forme de moutons), il faudra bien les gérer, si vous allez doucement, vous pouvez les approcher mais si vous allez vite: vous les ferez courrir dans tout les sens. Plus le jeu avance, plus les niveaux et les pièges seront difficiles à passer. Et voir un mouton se faire "achever" par un obstacle sera difficile a supporter (un nombre de moutons a sauver par niveau est indiqué), et les voir mourrir est juste énervant.

     

    Le jeu possède beaucoup d'humour: on ne sera plus surpris de voir les moutons prendre la forme d'un tank pour détruire un mur ou les voir disparaître dans un champs de blé. Le mode deux joueur est original car il propose une partie de football entre moutons, vous contrôlez votre berger et déplacez vos moutons pour les faire mettre la balle dans le but adverse.

     

    Sheep est un jeu original et drôle, cependant c'est on aime ou on aime pas, j'ai dis les points positif mais pour moi: je n'ai pas vraiment aimé.

     

    Quelques captures d'écran commentées:

    [Test #08] Sheep (PlayStation)L'humour est présent dans le look des moutons. Franchement, le mouton super-héros est ridicule.

     

     

     

     

     

    [Test #08] Sheep (PlayStation)Vous devrez guider vos moutons dans un temps imparti en évitant les pièges à l'aide de votre Berger.

     

     

     

     

     

     

    [Test #08] Sheep (PlayStation)Les pièges seront de plus en plus difficiles a traverser, sur ce passage, j'ai perdu beaucoup de moutons.

     

     

     

     

     

     

    [Test #08] Sheep (PlayStation)Parmi les quatre personnages, j'ai toujours choisis lui. Je trouve qu'il est mieux que les autres.

     

     

     

     

     

     

    Les 5 points à critiquer dans un jeu vidéo:


    Graphismes: J'ai trouvé les graphismes trop simplistes, certes, il sont agréables a regarder, mais on a fais mieux. 11/20

    Jouabilité: Les contrôles sont assez simples, on a quasiment juste à se déplacer, cependant, ce qui complique la chose: C'est les moutons qui fuient souvent. 14/20

    Durée de vie: Le jeu n'a pas beaucoup de niveau mais ces niveaux sont assez long, de plus on a droît a des niveaux bonus, qui rallongent un peu sa durée: 13/20

    Bande-son: Les bruitages sont sympathiques mais la musique est quasiment inexistante. 12/20

    Scénario: On a quasiment pas de scénario, mais l'histoire que l'on a vu au début de cette critique et qui est celle du jeu est assez originale. 13/20

     

    Note finale: 12,6


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  • Zombies

    [Test #08] Zombies (Megadrive)

    Bonjour à tous, je reprends mes tests après une longue phase où j'ai du tester des jeux, je suis donc de retour pour critiquer des jeux, bons ou mauvais. Au programme aujourd'hui, de la traque de Zombies, non pas du Resident Evil, mais un jeu de Megadrive, Zombies, qui parle de... Zombies.

    Date de sortie (France): 1993

    Type: Action

     

    Passé plutôt inaperçu en bornes d'arcades, Zombies Ate my Neigbors, sort en console de salon en France en 1993. Renommé Zombies, ce jeu est un classique de la Megadrive, et a connu un bon succès sur cette console.

     

    On a, dès le début, le choix entre deux personnages: Zeke, un garçon aux cheveux blonds fan de film d'horreurs, avec des lunettes 3D et un T-Shirt avec une tête de mort. L'autre personnage est Julie, jeune fille brune avec une casquette. Ces deux adolescents doivent sauver le voisinage d'une invasion de Zombies et autres créatures envoyées par le Dr Tongue. Zombies Ate My Neigbors peut se traduire par "Les zombies mangent mon voisinage". Cependant, on peut se demander si ce sont réellement ses voisins, vu que les niveaux sont variés avec un tas d'endroits tels que des supermarchés, des laboratoires, un desert... Comme le nom du jeu l'indique, des créatures vont essayer de dévorer le voisinage. Vous devrez donc combattre ses créatures tout seul, ou en mode deux joueurs.

     

    Quelle est l'histoire de ce jeu? Comme dit précédemment, des créatures envoyées par le Dr Tongue attaquent le village.  Vous devrez donc les combattre en sauvant le plus de villageois possibles.

     

    Pour finir le jeu, il faudra franchir une large palette de niveaux, je vous conseille de d'abord sauver les villageois, puis ramasser les objets et enfin, quitter le niveau. Une carte et disponible et indique la position des villageois autour de vous. L'issue de sortie du niveau apparaît dès que les villageois ont tous disparus. Soit vous les avez sauvés, soit certains d'entre eux se sont faits dévorer par une créature. Au début du jeu, les niveaux sont simples, mais cela se corse par la suite où survivre sera difficile. Vers la fin du jeu, mieux vaudra fuir plutôt que de faire un game over à cause de ces créatures.

     

    On a une énorme quantité d'armes et d'objets, certains seront rares. Du simple fusil au bazooka, des canettes au crucifix.  Les armes seront très utiles en fonction des situations, en objet, ce sera surtout les clowns qui seront utiles, ils permettent de distraire un ennemi. Le jeu est plutôt original dans le choix des armes, en effet, on aura de la vaisselle, des tomates, des canettes.

     

    Cependant, le jeu n'a pas que des points positifs, tout d'abord, la jouabilité est parfois mauvaise, on a du mal à ramasser certains objets ou personnages. Le changement d'armes aussi est parfois long. Il faudra donc vite prendre le coup de main car certains ennemis s'acharneront sur vous. Mais à la longue, il se prend facilement en main. Vous avez peu de vies mais beaucoup de niveaux à venir, il sera dificille de le finir.  Concernant les créatures, on a un tas de références à des films d'horreurs célèbres.

     

    Zombies est un jeu de Megadrive à essayer absolument.

     

    Quelques captures d'écran commentées:


    [Test #08] Zombies (Megadrive)Vous aurez le choix entre ces deux personnages. ce sera à vous de vous les répartir en mode deux joueurs.

     

     

     

     

     

     

    [Test #08] Zombies (Megadrive)Il faudra sauver tous les villageois avant qu'ils se fassent dévorer, la carte sera très utile pour effectuer cette tâche.

     

     

     

     

    [Test #08] Zombies (Megadrive)A la fin de chaque niveau, un score sera indiqué en fonction des personnes que vous aurez sauvées.

     

     

     

     

     

     

    [Test #08] Zombies (Megadrive)Certains boss comme les bébés géants seront assez simples, d'autres, comme les vers ou le boss de fin seront plutôt difficiles.

     

     

     

     

     

     

    Les cinq points à critiquer dans un jeu vidéo:


    Graphismes: Les graphismes sont très beaux pour l'époque, avec une animation réussie. 17/20

    Jouabilié: Comme je l'ai dit, la jouabilité peut être mauvaise, le fait qu'on soit obliger de passer plusieurs armes pour trouver celle que l'on veut est juste agaçant.. 13/20

    Durée de vie: Le jeu est très long avec plus d'une cinquantaine de niveaux, on perd souvent, heureusement qu'en fin de niveaux, on a un mot de passe. 18/20

    Bande-son: On a une bonne bande-son, cependant, les musiques assez répétitives entrent facilement en tête. 15/20

    Scénario: Le scénario est très banal, il est peu développé. Cependant, le boss de fin est très sympathique à affronter. 14/20

     

    Note Finale: 15,4


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